3 juin 2004
précautions d'emploi et mises en garde spéciale
Hier soir, après un mois de silence, j'ai revu C. dans un bar. Evidemment, le rendez vous avait été soigneusement planifié à l'avance, de telle sorte qu'il fut d'un ennui certain et prévisible. Dés que je le vis, C. me donna envie de m'ouvrir les veines. Pas un sourire, pas un "tu m'as manqué', même dans le regard, ça m'aurait suffit. Non, rien. Juste le néant. C. est désormais la seule personne capable de me déprimer rien qu'en arrivant dans un bar. L'heure et demie qui suivit me parut une semaine. Je fit en sorte d'avoir toujours de quoi boire. A 22h30 , je decidai qu'il était l'heure de nous dire adieu. Definitivement.